Samedi 13 février 2021 : nous avons visité les musées du Vatican et nous avons vu la Chapelle Sixtine. Ils étaient magnifiques. Nous y avons vu : des sculptures, des peintures et d’autres œuvres. Il y avait des audios-guides qui nous ont tout expliqué. Nous avons vu : des sculptures égyptiennes, des tableaux de Rafaële, de ses élèves, des tableaux et sculptures de Michel-Ange, et d’autres œuvres encore.
Dimanche 14 février 2021 : le matin en quittant le bivouac il faisait -3°C. À midi nous avons pris un bungalow au même type de camping ️que le 17 novembre et le soir papa et maman sont allés au restaurant en amoureux et moi je suis resté au bungalow et j’ai regardé un film en mangeant.
Lundi 15 février 2021 : nous avons emmené la voiture au garage car les deux roulements avant ont explosé et avaient pris feu.
Au bungalow j’ai trouvé un copain français et nous avons joué tout les deux.
Mardi 16 février 2021 : Joyeux Mardi Gras ! Nous, nous avons visité un autre quartier de Rome : « Trastevere » qui m’a plu et nous avons appris qu’il y avait un conflit à Rome entre France et Garibaldi car l’Italie était devenue une République et le Pape avait dû s’exiler.
Mercredi 17 février 2021 : papa et maman sont allés se faire couper les cheveux et j’ai encore joué avec Paul.
Jeudi 18 février 2021 : la journée nous avons visité le quartier français de Rome et papa et maman m’ont acheté deux livres : CÉSAR et le fantôme du Colisée par Geronimo Stilton puis nous avons vu l’ambassade de France. Nous avons visité un musée sur Leonardo Da Vinci que j’ai adoré car il était que pour nous.
Vendredi 12 fevrier 2021 : le matin nous avons fait deux heures de mathématiques et en fin d’après midi nous avons fait une petite balade et nous avons pris un milk shake.
Voici des mots croisés sur nos coups de coeurs Italiens 😉….à vous de jouer ! [game-crossword id= »2815″ ]
Le Basilicate … Pour être totalement honnêtes, avant
d’arriver en Italie nous n’avions jamais entendu parler de cette région
d’Italie. Même lorsque nous suivions les évolutions des restrictions par
région, nous ne nous sentions pas vraiment concernés par cette région inconnue
qui, donc, ne devait pas se trouver sur notre trajet prévisionnel. Et bien, que
nenni (ça, c’est pour toi Charlène … 😉
) ! Lorsque nous commençons à réfléchir à la suite de notre périple sur le
continent, nous nous rendons compte que pour aller de la Calabre aux Pouilles,
il nous faut traverser une région, toute en longueur, le Basilicate. Nous voilà
moins bêtes. Et quand nous nous apercevons qu’en plus, ce petit bout de région
est classé jaune et non orange comme ses 2 voisines, vous vous imaginez bien
que nous nous sommes empressés de traverser la frontière et … prendre un petit
encas dans un café !
Le Basilicate restera clairement une très belle surprise.
C’est une région toute en longueur, bordée par les mers Tyrrhénienne et
Ionienne comme la Calabre mais ne bénéficiant que de quelques kilomètres de
littoral de chaque côté. Au milieu, ce sont des montagnes. Au Sud elle est
encadrée par la Calabre et les Pouilles ; au Nord-Ouest, elle est bordée à
nouveau par la Calabre et par la Campanie.
Vous l’aurez compris, c’est une région très peu touristique,
encore sauvage et son relief y est pour beaucoup. Et comme nous sommes, nous
aussi, un peu sauvages … et bien l’alchimie a très bien fonctionné !
Déjà, point remarquable : le littoral est nettement
plus propre que la Calabre voisine et c’est très appréciable.
Ensuite, nous n’avons pas résisté à une incursion dans
l’intérieur des terres et donc en montagne et là … quelles découvertes !
Tout d’abord Craco ville fantôme digne d’un décor de cinéma.
Puis Aliano, ville dans laquelle Carlo Levi, écrivain renommé de Turin, fut assigné à résidence pendant la seconde guerre mondiale. Il découvrit alors l’Italie du Sud et en tomba amoureux. S’en est suivi un roman « Le Christ s’est arrêté à Eboli » qui permit de faire connaitre les conditions de vie des habitants de cette région si rude. Le point de vue sur les Calanchi, falaises argileuses sculptées par l’érosion est magnifique. Nous avons également beaucoup aimé le street art omniprésent dans les ruelles du village.
Nouvel effet Whaou avec 2 villages nichés dans les montagnes : Castelmezzano et Pietrapertosa. Au grand dam de Jules, la tyrolienne qui relie ces 2 villages ne fonctionne que l’été … Ces villages ont été littéralement creusés dans les roches et donnent l’impression d’y être lovés, comme au creux d’une main. L’hiver est là, bien présent avec ses températures fraîches et des reliquats de chutes de neige pas très vieilles. Mais nous nous sentons bien sur ces hauteurs …
Nous redescendrons ensuite près sur le littoral où les bivouacs sont tout de même plus confortables.
De là, nous partons à la découverte d’un nouveau coup de cœur : Matera. Plus vieux village du monde, classé au patrimoine de l’Unesco, il est caractérisé par ses Sassi : des constructions troglodytes qui témoignent des conditions de vie particulièrement rudes de ce coin de l’Italie, même si beaucoup ont été aujourd’hui rénovées et transformées en très jolis B&B … Le hasard fera que nous y croiserons un couple de voyageurs allemands préalablement croisés …. en Sicile ! Nous ne bivouaquerons pas très loin pour pouvoir profiter de ce village 2 jours, de jour (…) et de nuit. Il restera sans aucun doute une de nos étapes phares. Et quel plaisir de pouvoir se faire un petit restaurant le midi … et de déambuler dans un musée, pour la première fois depuis des mois ! Nous passerons plus de 2 heures à admirer peintures et photographie du Musée de la Civilisation paysanne, quasiment privatisé pour nous. Un bonheur que l’on doit à Jules qui a insisté pour y rentrer. Et il a drôlement bien fait : ce musée est passionnant et permet de mieux comprendre les origines de cette région et de ses habitants. Et voici notre point culture … Saviez-vous que le film « La passion du Christ » de et avec Mel Gibson avait été tourné dans ce décor unique ?
Nous ne connaissions même pas cette région il y a encore
quelques semaines. C’est à ce jour un vrai coup de cœur pour nous 3, pour son
littoral, tout aussi grandiose que celui de la Calabre mais bien plus propre,
pour ses villages authentiques et si bien entretenus, pour son histoire si
présente, pour ses habitants, certains un peu méfiants mais tous très fiers de
leur région : Ici c’est la vraie Italie nous dira l’un d’entre eux …
Au moment où nous apprêtions à quitter cette région pour rejoindre les Pouilles, nous apprenons que quasiment toute l’Italie passe en jaune sauf …. Les Pouilles, la Sicile, l’Ombrie et la région autonome de Bolsano. Nous avons pris goût au jaune et la Grèce ne semble pas prête à déconfiner. Nous décidons donc de changer une fois de plus nos plans et de repartir vers la Calabre, découvrir la côte ouest que nous n’avions pas pris le temps de découvrir la première fois.
Samedi 6
février 2021 : nous avons escaladé le Vésuve et un guide nous a expliqué sa magnifique histoire.
Dimanche 7 février 2021 : nous avons visité la
ville de Amalfi où nous avons mangé des glaces et le soir nous nous sommes pris
un appartement pour 3 jours car de la pluie était prévue.
Lundi 8
février 2021 : nous avons visité Pompei, la ville mythique qui a été détruite
par le Vésuve en 79 après J.C. Elle est magnifique de chez magnifique et nous
avons vu : des thermes, des maisons, des temples, des cathédrales et une
basilique.
Mardi 2
février 2021 : nous avons mangé des pizzas à Naples : maman une frite
(spécialité de Naples), papa une calabrese et moi une pistache. Bien sûr nous
avons visité Naples qui est magnifique et j’ai eu un vrai coup de cœur pour : la cathédrale,
la galerie Umberto, un des 3 ville châteaux, le palais royal … Savez-vous que
Naples a inventé la pizza margerita et qu’elle a les meilleurs pizzas du monde
?
Mercredi 10
février 2021 : nous avons visité la ville de Caserta sous des trombes d’eau qui
m’a plue avec leur équivalent du château de Versailles.
Jeudi 11
février 2021 : la journée nous sommes retournés à Sperlonga où nous avons pris
un petit apéro au même bistrot.
Vendredi 12
février 2021 : la journée nous avons visité la ville de Terracina qui m’a plue .
J’aime tout : les bivouacs, les visites, être avec mes
parents, les chambres d’hôtes, faire des câlins à Fauve.
J’aime visiter des cathédrales, églises et basiliques mais
aussi les villes et villages.
J’adore faire l’école avec mes parents. Je suis content
quand j’ai des nouvelles de l’école.
Sur les bivouacs, j’aime aider mes parents à installer le
bivouac et surtout jouer.
En voiture, j’aime lire sur ma tablette, imaginer des
histoires, colorier et jouer avec doudou et stromboli.
Je suis content quand j’ai des nouvelles de ma
famille : Papino, Mamital, mamie Annie, Juliette, Pauline, tata Alex,
tonton Luc, les cousins et tata Chantal.
Je veux absolument continuer le voyage, voir de magnifiques
choses et apprendre beaucoup.
Caroline :
Pour ma part, j’adore notre nouvelle vie. Je trouve que nous avons tout de suite trouvé nos marques tous les 3. Je profite bien plus de mes hommes et cela me plaît. Même si les moments de dispute avec Jules sont encore bien trop fréquents, les moments de câlins et de complicité sont également beaucoup plus présents qu’avant et c’est une richesse absolue.
Je suis fière d’eux,
de mon chéri qui prend soin de nous
continuellement, qui nous conduit (le plus souvent), qui nous cuisine de bons
petits plats tous les jours dans toutes les conditions météo possibles, qui
trouve toujours plus d’astuces pour rendre notre quotidien plus confort,
de mon fils qui s’intéresse à tout, qui
s’enthousiasme avec nous, qui s’adapte avec une facilité déconcertante à ce
nouveau rythme et au manque de confort, qui est capable de jouer des heures
seul sans s’ennuyer tellement ils sont nombreux dans sa petite tête qui
bouillonne.
Peu d’enfants je pense se montreraient aussi avide de
nouvelles découvertes, aussi flexible face à des conditions de vie spartiates
(douches extérieures quand il fait moins de 10°, toilettes dans la nature qu’il
faut creuser au préalable et recouvrir ensuite, … 😉), aussi indépendant et
autonome dans ses loisirs. Nous nous fâchons souvent car, à côté de cela, les
notions de soin ou de respect ne sont pas encore acquises loin de là mais j’ai
conscience d’être une maman très chanceuse …
Je pense arriver à concilier notre nouveau rythme avec mon
travail même si je dépasse quelque peu depuis le début le temps que je devrais
impartir à ce dernier. Je suis contente d’avoir eu la possibilité de continuer
à travailler, d’avoir des contacts réguliers avec mes collègues.
Nos 3 mois en Italie nous ont permis de démarrer assez
tranquillement notre aventure mais j’avoue que je suis loin d’avoir atteint mon
niveau de « lâcher-prise ». J’aspire à franchir, à titre très
personnel, une étape supplémentaire pour davantage me connecter avec le
présent. Cela passera très certainement avec un voyage qui nous orientera vers
des cultures encore plus différentes de la mienne. Et je sais que je peux aussi
compter sur mes 2 hommes pour m’aider à y arriver. J’ai aussi un travail à
faire pour gagner en patience, …ce n’est pas Jules qui dira le
contraire !
Donc oui bien sûr, je veux continuer, encore plus loin,
encore plus haut ! 😉
Michel :
Il m’a fallu quelques jours avant de me rendre compte qu’il
ne s’agissait pas de vacances mais d’une vraie expérience.
Même si notre itinéraire initialement prévu a dû être adapté
en fonction des circonstances sanitaires et météorologiques, je prends un plaisir
particulier à découvrir tous les jours de nouveaux endroits, à nous installer
sur de nouveaux bivouacs. J’ai apprécié le fait qu’il ait été, jusqu’à présent,
très facile de se poser à des endroits souvent très beaux.
J’ai l’impression de m’être bien déconnecté de mon
quotidien.
Le plaisir de rouler sur certains chemins, certaines pistes
en Italie m’a fait prendre conscience que notre véhicule était bien adapté pour
ce type de voyage. Je n’aurai pas imaginé avoir la possibilité de dormir si
souvent sur la plage auparavant.
Au bout de 3 mois en Italie, je retiens les magnifiques
paysages, la nourriture, les villages et l’histoire omniprésente mais aussi le
côté moins agréable des incivilités continues sur la route et des déchetteries
à ciel ouvert.
J’ai hâte de découvrir d’autres pays, d’autres paysages, …
La Grèce ? Le Maroc ?…
Samedi 30 janvier 2021 : nous avons visité la ville de Matera, la plus vieille ville du monde classée par l’UNESCO qui m’a plu avec ses magnifiques Sassi (troglodytes de Matera) et nous avons mangé au restaurant des pizzas : papa une frutti di mare maman une Cezanne et moi une del re avec des frites.
Dimanche 31 janvier 2021 : la journée nous avons quitté la Basilicate pour aller en Calabre. Le soir nous nous sommes posés près de la plage en bivouac.
Lundi 1er février 2021 : nous avons visité la ville de Cosenza. Avec papa, nous avons visité un couvent et j’ai encore mangé une pizza aux frites.
Mardi 2 février 2021 : le soir nous nous sommes posés près d’une vieille tour en bivouac et j’ai joué pendant 1 à 2h.
Mercredi 3 février 2021 : le soir nous nous sommes posés en bivouac près de la plage et nous avons vu le Stromboli.
Jeudi 4 février 2021 : nous avons quitté la Calabre pour aller en Basilicate visiter Maratea.
Vendredi 5 février 2021 : le matin avec papa nous nous sommes promenés avec Fauve sur un GR (chemin de grande randonnée). La journée, nous avons visité la ville de Marina di Camerota qui m’a plu avec ses bateaux. Nous y avons mangé des parts de pizza sur une plage de cailloux, et nous avons eu l’idée de faire une page gourmande sur notre blog. Quand pensez-vous ?
Nous voilà donc en Calabre, région classée orange en termes de restrictions.
La Calabre est une région au sud de L’Italie, située sur la pointe de sa botte. Elle est bordée par 2 mers, la mer Tyrrhénienne sur sa « voûte » et la mer Ionienne sous sa « plante » ce qui lui offre un beau littoral. Mais c’est aussi et surtout une région très montagneuse.
Nous sommes en plein hiver, nous sentons bien que nous avons perdu quelques degrés en quittant la Sicile et notre projet est toujours de rejoindre les Pouilles pour pouvoir (enfin) prendre un ferry pour la Grèce.
Donc nous décidons de longer le littoral vers le Sud en ne faisant que quelques incursions vers l’intérieur. En effet, dès que nous quittons la mer, nous grimpons en altitude et notre mode de vie ne nous permet pas vraiment d’assumer sur plusieurs jours, des températures très basses. Nous serions en camping-car ou en camion aménagé comme des touristes allemands que nous avons croisé en chemin, nous serions moins regardants vis-à-vis de la météo. Mais avec Tiny, nous vivons, cuisinons, mangeons dehors. Tout le temps … Donc même s’il est possible de s’abriter à l’intérieur pour y travailler par exemple, ce que nous avons eu l’occasion de faire à 1 ou 2 reprises, même si nous nous sommes déjà retrouvés à manger vite et tôt pour se réfugier avant 20h30 tous les 3 sur le lit de Jules à regarder un film sur l’ordinateur, cela reste occasionnel et pas forcément du plus confortable …
Reggio de Calabre
Bova
Squillace
Plantation d'oliviers à Stilo
Plage de Pietragrande
Nous voici donc partis à longer la mer (Tyrrhénienne dans un premier temps … merci pour ceux qui suivent !) par le Sud. La vie c’est aussi des choix. On se dit que la côte Ouest et surtout les magnifiques parcs naturels, ce sera pour une prochaine fois …
La Calabre, cela restera pour nous de très beaux bivouacs, en bord de plage et surtout face à une mer aux couleurs hypnotisantes. Et pourtant, ce n’est sans doute pas la meilleure des saisons pour l’admirer. Qu’est-ce que cela doit être en été … Jules va, une nouvelle fois, s’éclater, pendant des heures à s’inventer des histoires. Il vit en totale liberté et se régale… Même Caroline, qui a pourtant du mal à le perdre des yeux habituellement, s’habitue à le voir « disparaître » un long moment. Pas trop longtemps tout de même … 😉 Nous retiendrons notamment le bivouac dans « notre » camping abandonné, celui sur la plage de sable fin, bordée de magnifiques cailloux avec son restaurant de plage qui nous a emmenés aux Caraïbes, celui avec le réveil sur l’Etna (encore lui) … Bien sûr il y en a eu de moins agréables, pas tellement par le cadre qui reste souvent très beau mais par l’état des plages et la quantité de déchets que nous y trouvons… Cela va rendre certains arrêts moins … glamour même si nous sommes loin des arrêts « parking de supermarché » ou « stations-essence » qui nous seront sans doute bien utiles … un jour !
Premier bivouac en Calabre avec vue sur l'Etna au réveil
Terrain de jeu pour Jules
De la Calabre, nous retiendrons aussi quelques jolies rencontres, notamment ce vieux monsieur à Bova Marina qui viendra nous voir pour discuter 2 jours de suite. Mais aussi ce commerçant, à Soverato à qui nous achetons 3 glaces et qui nous offre en partant un panettone … juste comme cela, parce qu’il est content de nous voir, parce que cela lui fait plaisir … Et à nous donc ! Sans parler de cet autre, à Gerace, obligé de fermer la terrasse de son café, à qui nous prenons 3 parts de pizza qu’il ira chercher exprès dans un autre commerce, fermé, et qui nous proposera spontanément, après avoir vérifié que les carabinieri n’étaient pas dans les parages, l’usage de ses toilettes alors qu’un panneau juste devant le café l’interdit (pour rappel, la Calabre est en orange et les toilettes publiques ou ceux des cafés doivent rester fermées).
Et bien sûr, la Calabre nous a permis de découvrir de très jolis villages, souvent nichés en montagne et dont plusieurs sont classés parmi les plus beaux villages d’Italie. Il y a eu Bova, recommandé par le vieux monsieur dont nous avons parlé plus haut. Nous y sommes allés en fin d’après-midi … 0° à 5 heures du soir, cela pique un peu … mais quelle authenticité… Gerace que nous avons découvert à la nuit tombée et que nous avons pris plaisir à redécouvrir de jour (et avec quelques degrés de plus), Catanzaro et sa très belle cathédrale, les villages médiévaux de Stilo et Caccuri.
Squillace
Stilo
Stilo
Gerace
Corigliano Calabro
Pietragrande
Beau coup de cœur aussi pour Cariati avec ses peintures murales et sa jolie vue sur la mer (et son glacier super primé depuis des années, fermé à notre arrivée mais qui a eu la bonne idée d’ouvrir juste avant que nous repartions 😉 ) .
Petite mention spéciale aussi au Capo Rizzuto, totalement désert en cette période mais qui offre des panoramas extraordinaires sur la mer.
Clairement, nous savons que nous aurions encore beaucoup à découvrir, notamment dans les 2 parcs nationaux de l’Aspromonte et de La Stila mais la saison ne s’y prête vraiment pas …
Pour ce qui est du moment culture, nous ne pouvons pas ne pas citer Pythagore, qui a passé une grande partie de sa vie à Crotone, où il a ouvert sa première université.
Et nous tenions à terminer notre retour sur la Calabre avec un nom : Léa Garofalo. Pendant notre séjour en Calabre se déroulait un procès de la mafia calabraise, la Ndrangheta, historique de part de nombre d’interpelés. La mafia calabraise est la plus puissante du pays. Lea Garofalo, assassinée par la mafia en 2009 pour avoir voulu témoigner contre elle est aujourd’hui un symbôle pour beaucoup et associée à ce message fort : « Le courage de dire non ».