Archives de
Catégorie : Panama

Panama 1ère partie

Panama 1ère partie

17 février 2022 – 26 février 2022

Nous voici en direction de la frontière avec le Panama après une matinée de travail en zone wifi sur la place de Cahuita.

La sortie du Costa Rica se fera rapidement et sans encombre. On ne nous demandera même pas les papiers faits pour Fauve quelques semaines plus tôt (certificat du vétérinaire & autorisation de sortie du territoire) pour plus de 100 dollars … L’entrée au Panama va nous réserver un petit sketch inédit, proposé par un douanier … tatillon. En résumé cela donne : 

Le douanier : « Donnez-moi tous vos documents et asseyez-vous là. Je reviens dans 20 mn ». 

Très bien, donc nous attendons sagement … Et au bout de 20 minutes, le voilà qui revient … 

Le douanier : « Je ne vois pas le numéro de passeport inscrit sur le titre du véhicule » (équivalent de notre carte grise)

Caroline : «  C’est normal, il n’y est pas »

Le douanier : « Normalement, le numéro de passeport est inscrit sur les titres de véhicule »

Caroline : « Et bien, à priori pas au Mexique … »

Le douanier : « Mais j’ai besoin que le numéro de passeport soit inscrit sur le titre pour pouvoir éditer le permis d’importation »

Caroline : « Il faudrait donc voir avec les autorités mexicaines pour qu’elles changent leur document officiel parce que là, moi je ne peux rien faire de plus … »

Le douanier : « D’habitude le numéro de passeport est inscrit »

Caroline : « Comme vous pouvez le voir sur le titre OFFICIEL, il n’y a pas d’emplacement prévu pour indiquer cette information. Donc je pense que cette information ne figure pas sur les titres mexicains ; d’ailleurs, elle ne figure pas non plus sur les titres français et je ne doute pas que vous ayez déjà délivré des permis d’importation pour des voitures mexicaines ou françaises … »

Le douanier : blanc …

Caroline : « Que fait-on alors ? »

Le douanier : blanc

Caroline : « Nous avons acheté ce véhicule au Mexique et traversé 5 frontières sans jamais avoir ce souci. Pourquoi cela devrait poser un problème aujourd’hui ? »

Le douanier : « Comment je sais que la voiture vous appartient ? »

Caroline : « Il y a mon nom écrit sur le titre. »

Le douanier : « Oui, mais je n’ai pas le numéro de passeport… »

Caroline : « ???? »

Cela s’est fini par l’intervention opportune de la supérieure hiérarchique qui a conclu : « Si elle te dit que la voiture est à elle, c’est qu’elle est à elle. »

Quand on vous dit que les passages de frontière sont toujours sources d’histoires, bonnes et moins bonnes …

Nous voici donc au Panama. Nous avons le droit d’y rester 3 mois mais le permis de Maya n’est que de 1 mois …  Encore une drôle d’incohérence ! Nous avons prévu en première étape l’île de Colon à Bocas del Toro. Pour y aller, nous devons rouler une petite heure vers l’embarcadère pour prendre un ferry le lendemain matin aux aurores. Sauf que …. Nous nous trouvons bloqués par une manifestation citoyenne qui a totalement coupé le seul pont qui relie la frontière au reste du Panama. Renseignements pris, cela fait déjà 24h que le pont est bloqué et personne ne sait quand il va être à nouveau ouvert. Les gens sont calmes, patients et s’organisent. Les bus collectifs s’arrêtent de chaque côté du pont, les passagers en descendent, traversent à pied et reprennent le bus de l’autre côté. Certains viennent avec des brouettes pour proposer leurs services aux personnes chargées. Les taxis font des allers et retours constants. Et les automobilistes … attendent. Le tout est finalement assez bon enfant malgré la gêne évidente que cela procure. La nuit tombe, le pont est toujours fermé donc nous décidons de trouver un endroit un peu plus à l’écart pour la nuit. Nous arrivons en bord de rivière, au calme et nous passons la soirée à scruter le pont dans l’espoir de voir le flux de véhicule reprendre. Finalement, nous allons dormir. Pour un court instant car nous sommes tirés du lit par les policiers qui nous expliquent que l’endroit est dangereux  et qu’il est préférable (enfin ça c’est la forme polie car nous sentons bien que nous n’avons guère le choix) de se garer sur le parking du stade. Il nous faut replier le lit, tourner un peu pour trouver ce fameux parking pour enfin, se poser, redéplier le lit et se coucher. Le lendemain matin, Jules se réveillera surpris de ne pas reconnaitre le paysage de la veille … Il ne se sera rendu compte de rien !

Nous nous glissons à nouveau dans la file d’attente et passons la journée à patienter au milieu des autres automobilistes. Les voisins compréhensifs nous ouvrent leur salle de bain. Cela décale évidemment notre calendrier mais l’avantage de la vie en van c’est qu’il n’y a pas de réservation d’hôtel, pas de date de retour non modifiable. Nous observons les gens qui sont eux, particulièrement impactés dans leur vie quotidienne et qui restent néanmoins d’un calme olympien : c’est une vraie leçon pour les stressés que nous sommes ! La journée est rythmée par le travail, l’école, les jeux, la lecture jusqu’à ce que les manifestants nous ouvrent une brèche de quelques minutes vers 16h30. Libérés, délivrés …. Nous fonçons vers l’embarcadère et nous nous préparons à une nouvelle nuit pas très glamour dans une file d’attente entre 2 camions : le ferry part le lendemain à 7h et les premiers arrivés sont les premiers servis.

Et clairement, dès le lendemain nous allons nous rendre compte que ces petits aléas en valaient sans aucun doute la chandelle. Nous sommes conquis avant même de poser une roue sur l’île… Nous découvrons une ambiance caribéenne, des maisons en bois colorées, avec de jolis balcons … Le contraste est saisissant ! Et nous allons trouver certainement un de nos plus jolis bivouacs, sur la playa Bluff. Nous sommes seuls au monde sur ce bout de paradis aux couleurs extraordinaires : pas besoin de filtre ou de travailler les photos, le paysage se suffit à lui-même … C’est exceptionnel. Tout comme les vagues ! Même si nous sommes habitués depuis le Nicaragua aux plages rythmées par une houle importante (que ce soit côté Pacifique ou Caraïbes), ici elles sont énormes ! D’ailleurs même le surf n’est pas recommandé, ou alors uniquement pour les surfeurs aguerris. Jules va même perdre son masque dans l’eau, surpris par l’une d’entre elles. Nous ne le retrouverons pas … Le masque bien sûr, pas Jules heureusement ! Jacky, nous savons que tu n’es pas adepte des îles mais celle-ci tu l’aurais bien aimé, même si JR n’aurait peut-être pas apprécié les chemins cabossés et terreux … Dire que Maya était toute propre … 😉 

L’atmosphère est tranquille, sereine et donne juste envie de se poser, profiter, boire un verre en terrasse en écoutant de la bonne musique … Les vacances quoi … Et non, nous ne sommes pas en vacances : il faut bien faire l’école (dans ce cadre, ce n’est pas ce qu’il y a de plus simple) mais aussi travailler (dans ce cadre, … on se sent plutôt chanceux, n’est-ce pas Christelle, Nathalie, Sophie, Charlène, Audrey, Laetitia …).

Le Père Noël nous ayant laissé un petit crédit sur nos cadeaux, nous nous offrons (merci Papino & Mamital) une sortie en mer avec découverte de dauphins, farniente sur une île de rêve et snorkeling (plongée en tuba) au milieu des poissons et des coraux. Pour nous, pas de dauphins mais la journée va juste être magique. L’île de Zapatillo est digne des plus belles cartes postales avec son sable blanc, son eau turquoise et tiède et nous allons nous régaler lors de la sortie snorkeling même si nous serons les seuls sur le bateau à vouloir plonger … Fiers de notre fils qui nous suit de plus en plus facilement : le début est toujours un peu tendu entre le masque qui prend l’eau, le tuba qui est mal mis, la buée … mais une fois lancé on ne l’arrête plus. Fauve est aussi de la partie : elle va être sacrément secouée dans le bateau et va moyennement apprécier l’arrivée et le départ de Zapatillo qui se fait à quelques mètres de la plage et nous oblige à nous mouiller jusqu’aux épaules et à la porter pour arriver et repartir du rivage … Mais elle préfère encore ça à être séparer de sa famille même quelques heures et il fait de toute façon trop chaud pour la laisser aussi longtemps dans Maya … 😉

Le lendemain, nous vivrons encore une splendide journée sur la playa Estrellas, connue pour ses étoiles de mer que nous pouvons admirer depuis la plage. Découverte du riz au Coco : il faudra que nous reproduisions cette recette, c’est une tuerie ! 

Après 3 belles journées sur la Isla Colon il nous faut reprendre le ferry pour continuer notre route. 

Changement complet de décor : nous voici à la montagne, à Boquete, en plein cœur du Panama, au pied du volcan Baru. Nous sommes à 1100 mètres d’altitude, l’air est plus frais et plus humide mais cela fait du bien après les derniers jours bien chauds. Nous retrouvons l’ambiance des endroits comme la Fortuna au Costa Rica. La région est très verdoyante, très fleurie, calme. Nous nous engagerons sur un chemin de randonnée réputé pour ses quetzals mais encore une fois nous reviendrons bredouilles. Ce n’est pas très grave, la nature nous a tout de même offert de très jolis paysages et cela nous a permis de traverser une petite communauté locale particulièrement souriante et accueillante. 

Pour l’instant, c’est d’ailleurs un point qui nous manque par rapport au Costa Rica notamment : que ce soit à Bocas del Toro sur la Isla Colon ou à Boquete, l’accueil est agréable mais nous manquons de belles rencontres. Ce point-là va être radicalement inversé lors de notre prochain bivouac. Sur la route de la côte Pacifique, nous cherchons un endroit pour se poser. Finalement, nous nous arrêtons devant une petite maison. Juste en face, il y a un petit emplacement qui pourrait nous convenir pour la nuit : c’est un espace publique mais par correction la maison étant juste à côté, nous demandons l’autorisation aux habitants de nous poser là. Aucun souci. Nous nous installons donc et dinons tranquillement dans une jolie campagne environnante. A la fin du repas, nous recevons la visite de 2 des occupants de la maison, curieux d’en savoir plus sur nous et notre maison roulante. La discussion s’engage tant bien que mal car notre niveau d’espagnol n’est pas encore au top et ils ont une tendance à manger 3 syllabes sur 4 … La famille qui habite dans la maison élève des vaches laitières. Ils vivent dans des conditions rustiques mais nous offrent spontanément l’accès à leur douche (une sortie d’eau froide entre 3 murs en béton) et leurs toilettes (sèches) dans le jardin. Ils reviennent ensuite avec un sac rempli d’oranges. Le lendemain, au moment de leur dire au revoir, nous rencontrons Sonia, la maîtresse de maison, qui est déjà aux fourneaux et nous dit être en train de nous préparer à manger … Nous resterons donc déjeuner avec cette famille au cœur d’or qui va nous accueillir comme des rois (Como te llamas ? Caroline Ah, Caroline como la princesa de Monaco !!). Nous devons reprendre la route mais promis, au retour nous repasserons les voir ! 

Semaine 37

Semaine 37

Buenos Dias

Samedi 12 mars : nous sommes allés dans un hostal à Santa Fe. Nous avons dormi dans le jardin dans Maya. J’ai joué.

Dimanche 13 mars : nous sommes allés à de belles cascades. Nous avons commencé un exposé PowerPoint sur le canal de Panama.

Lundi 14 mars : j’ai promené Fauve avec papa. Nous sommes retournés près de chez les cow-boys. J’ai fait du cheval tout seul pour la première fois. C’était super !

Mardi 15 mars : nous avons regardé les cow-boys traire les vaches. Nous sommes allés à David.  Nous sommes allés sur un terrain privé où il y avait une piscine. Nous avons bien été accueilli par les gérants (Katty et Nelson, des costariciens).

Mercredi 16 mars : nous sommes allés à la frontière Panama-Costa Rica. Nous n’avons même pas passé une heure à la frontière ! Nous sommes retournés à Playa Dominical. Nous nous sommes baignés.

Jeudi 17 mars : nous avons pris des gens en auto-stop ( Kevin et Floor ) pour aller à San José. Nous sommes retournés au même restaurant que la dernière fois car le lendemain, il fallait mettre Maya chez le garagiste. 

Vendredi 18 mars : nous avons travaillé en profitant du réseau du restaurant. Nous sommes restés toute la journée au restaurant. Papa et maman sont allés récupérer la voiture chez le garagiste ; nous avons passé une deuxième nuit au même endroit.

Hasta Luego

Jules

Semaine 36

Semaine 36

Buenos Dias 

Samedi 5 mars : nous avons ramassé des feuilles. Nous nous sommes promenés. Nous avons eu chaud. Nous nous sommes baignés. Nous sommes restés une deuxième nuit.

Dimanche 6 mars :  nous sommes allés dans un village de montagne qui s’appelle El Valle d’Anton. Nous nous sommes posés en bivouac près d’une petite rivière.

Lundi 7 mars : nous sommes allés à Panama City. Il y avait d’énormes gratte-ciel de toutes les formes. Nous sommes allés dans un hostal où il y avait un livre en français. Nous avons dormi dans Maya. Nous avons promenés Fauve tous les trois.

Mardi 8 mars : nous avons publié le blog. Nous sommes allés chez un réparateur de bateaux qui va essayer de réparer le toit que nous avons cassé à Telica. Nous avions réservé une chambre dans un hôtel qui acceptait les animaux. Mais arrivés sur place, ils nous ont demandé 150 $ (120€) pour que Fauve puisse rentrer dans l’hôtel. Fauve a dû passer la nuit à côté de Maya.

Mercredi 9 mars : nous avons pris un petit déjeuner de roi avec : du salami, du fromage, des fruits, des pancakes, des beignets au pommes de terres…Nous sommes allés voir une des écluses du canal de Panama. Il y avait un petit musée. Nous avons vu passer les bateaux et c’était super !

Jeudi 10 mars : nous avons pris la pièce réparée chez le réparateur. Nous sommes allés dans la vieille ville de Panama. Le changement était direct. A la place des gratte-ciel, il y avait des maisons de toutes les couleurs. La vieille ville était jolie. Nous nous sommes posés en bivouac sur un parking. Il y avait une jolie vue sur la ville moderne de Panama City. 

Vendredi 11 mars : nous sommes allés sur une plage. Je me suis baigné. Les policiers nous ont demandé de nous mettre dans un endroit plus sûr. Nous sommes restés sur la même plage mais près de chez des gens très gentils qui ramassent des canettes pour les vendre et gagner des sous.

Hasta Luego

Jules

Semaine 35

Semaine 35

Buenos Dias 

Samedi 26 février : nous sommes allés sur une plage où, le soir et la nuit, il y a eu de la musique.

Dimanche 27 février : nous sommes allés à une petite ville où nous avons travaillé et posté le blog. Nous nous sommes posés en bivouac sur un campement Evengelique où nous avons testé mes talky-walkies . 

Lundi 28 février : nous sommes allés sur un parking près d’un bras de mer où la mer était trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès loin. Nous ne la voyons même pas.

Mardi 1er mars : des policiers nous ont parlé. Nous sommes allés en bivouac à playa el Arenal. Nous nous sommes baignés. La plage était jolie.

Mercredi 2 mars : nous sommes allés en bivouac à  playa Venao. Nous nous sommes baignés. La plage était jolie et il y avait de grosses vagues. 

Jeudi 3 mars : nous sommes allés sur une plage près d’un minuscule village où papa est aller acheté des croquettes pour Fauve. Je ne me suis pas baigné. Le sable était noir. Il a plu.

Vendredi 4 mars : je me suis promenés avec papa et Fauve la matin.  Nous sommes allés à un restaurant où nous nous sommes posés en bivouac. Pour rester gratuitement, il faut ramasser les feuilles tous les matins. Il y avait au moins 5 chiens. 

Hasta Luego

Jules

Semaines 32, 33 et 34

Semaines 32, 33 et 34

Sonia et moi, le cow-boy.

Buenos Dias

Résumé du jeudi 3 et du vendredi 4 : nous sommes sortis de l’isolement. Nous avons déjeuné au restaurant. Nous sommes allés sur la plage de Samara. Nous nous sommes promenés et nous avons profité du coucher de soleil.

Samedi 5 février : nous avons réparé la vitre arrière de Maya. Nous sommes allés sur la jolie plage de Iguanita. Nous nous sommes baignés. 

Dimanche 6 février : papa et maman se sont promenés sur la plage. Il a fait chaud. Nous avons vu un magnifique coucher de soleil. Je me suis planté une énorme épine de cactus dans la main. Ça m’a fait très mal.

Lundi 7 février : nous avons passé la matinée sur la plage. Nous sommes allés le soir en bivouac près de belles cascades.   

Mardi 8 février : nous sommes restés toute la journée au même endroit. Avec papa, nous avons sauté de rocher en rocher pour aller voire une belle cascade.   

Mercredi 9 février : nous nous sommes lavés avec l’eau froide de la cascade. Nous sommes retournés à San José. Nous sommes allés chez Andrew. Nous avons mangé des pizzas au même endroit que la dernière fois. La nuit a été froide.

Jeudi 10 février : nous avons petit-déjeuné chez Andrew. Papa a mis la voiture chez le garagiste car il y avait une fuite sur la pompe à eau. Nous avons déjeuné dans un très bon restaurant pendant que Maya se faisait faire une petite vérification.  

Vendredi 11 février : nous avons travaillé. Nous sommes allés dans une réserve naturelle de grenouilles : Frog’s Heaven. 

Samedi 12 février : nous avons visité le parc et vu : des grenouilles vertes avec des points noirs, des grenouilles avec des jeans et des gants bleus :-), des grenouilles vertes avec des doigts et des orteils oranges, des flancs bleus et des yeux rouges. Nous sommes allés près du volcan Poas.

Dimanche 13 février : nous avons fait une balade difficile (gros cailloux, boue…) pour aller à la belle et froide cascade Diana. Nous avons pris un chemin plus facile pour rentrer. Nous sommes allés à Heredia, une petite ville à côté de San José. Nous avons du trouver à nous loger car papa devait envoyer Maya chez le garagiste pour une grosse révision. Nous sommes allés dans un appartement dans un condominium. Il y avait : un sèche-linge, un lave-linge, une douche chaude et une télévision.

Lundi 14 février : bonne Saint-Valentin❤️ ! Nous avons passé la journée au condominium. Nous nous sommes promenés. J’ai fait une journée télé.

Mardi 15 février : nous sommes restés toute la journée au condominium. Papa et maman se sont fait leur restaurant de Saint-Valentin en retard.

Mercredi 16 février : nous avons mis les bagages dans la voiture et nous sommes allés sur une plage près de Cahuita.

Jeudi 17 février : nous sommes allés travailler sur la place de Cahuita. Nous avons passé la frontière du Panama. Nous n’avons pas pu passer par la seule route qui allait dans les terres à cause d’une manifestation. Nous sommes restés en bivouac là où nous étions bloqués.

Vendredi 18 février : nous avons passé une bonne partie de la journée  à attendre que la route ouvre et nous n’avons pu passer qu’en milieu d’après-midi. Nous sommes allés en bivouac à l’embarcadère pour aller à Bocas del Toro.

Samedi 19 février : nous avons pris le ferry pour aller à Bocas del Toro. La ville même était jolie. Nous sommes allés à une plage avec de grosses vagues🌊. J’ai perdu mon masque :’( .

Dimanche 20 février : nous nous sommes baignés dans les vagues géantes et nous nous sommes promenés. Nous sommes allés en bivouac sur une plage, près de la ville de Boca del Toro.

Lundi 21 février : nous avons fait une sortie en mer super !!!!  Nous nous sommes baignés sur une plage paradisiaque, nous avons fait du snorkeling et nous avons vu plein de star fishs. C’était superbe !!!!!! Nous nous sommes posés en bivouac à Boca del Drago. La baie s’appelle comme ça car, Christophe Colomb, pendant un de ces voyages, après avoir été malmené par une tempête, a trouvé refuge dans cette baie. Il y a senti de la chaleur.

Mardi 22 février : nous sommes allés à Playa Estrellas. Nous avons vu pleins d’étoiles de mer. Nous nous sommes posés en bivouac au même endroit que dimanche.

Mercredi 23 février : nous sommes partis de Bocas del Toro. Nous sommes allés sur le continent. Nous sommes allés à Boquete. C’est une ville de montagne. Nous sommes allés dans un hostal où il y avait des livres en français et un trampoline.

Jeudi 24 février : nous nous sommes promenés et nous avons vu un magnifique parc de fleurs. Papa s’est fait couper les cheveux. Nous avons mangé au restaurant et pris des glaces. Nous avons passé une deuxième nuit à l’hostal. 

Vendredi 25 février : nous sommes allés sur une montagne pour voir des quetzals. Nous n’en n’avons pas vu. Nous sommes allés en bivouac près de chez des cow-boys. 

Hasta Luego 

Jules